Alizée Bourquin
Une femme passe l'entièreté de sa vie à chercher son identité, à s'oublier pour rentrer dans "le moule" de la société. Le miroir, objet du quotidien, à la fois son meilleur ami et son pire ennemi lui rappelle son reflet chaque jour, et parallèlement ses complexes et angoisses. Que ce soit à vingt ans lorsqu'il faut avoir la taille la plus fine possible pour être acceptée au lycée, à trente ans lorsque le corps est transformé suite à une grossesse ou encore à cinquante ans quand ce dernier change en raison de la ménopause. Une vie entière à lutter pour s'accepter et s'aimer telles que nous sommes. La mode peut à la fois nous venir en aide puisque grâce à elle nous pouvons affirmer notre propre style et ainsi imposer notre personnalité unique. Mais elle peut aussi être un obstacle au cheminement de confiance en soi, en raison des normes strictes et des mentalités où il faut être la plus mince possible pour être reconnue comme telle dans un monde où tout passe uniquement que par l'apparence. Ce mémoire n'a qu'un seul objectif : détourner la sacralisation du miroir en tant que tel et ne plus le percevoir comme un objet maudit mais comme un sauveur, une mise en lumière des femmes. Chaque femme est belle, peu importe sa morphologie et son apparence.
La mise en page de mon mémoire a été évidente : un journal intime. Objet inévitable de l'adolescence où chaque jeune fille retranscrit sur le papier, ses soucis et angoisses les plus profondes.
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